Google Inc. vient d'annoncer que son logiciel de modélisation 3D Sketchup était maintenant disponible en version française.
Le logiciel Google SketchUp arrive enfin dans sa version française. Ce programme gratuit de modélisation 3D est destiné aux phases conceptuelles du dessin, conception et création notamment. Le logiciel est compatible pour le moment sous Windows 2000 et XP et sous Mac OS X (10.4). La version Vista viendra sans doute plus tard.
Google SketchUp permet au grand public de façonner en 3D la maison ou l'appartement qu'il imagine. Il est possible de placer les modèles crées dans Google Earth ou les publier dans une banque d'images 3D proposée par google inc. Les professionnels pourront se tourner vers la version Google SketchUp 6, également disponible en français au prix de 495 dollars (environ 340 euros).
L'une des differences pour ce produit plus performant est qu'elle inclut notamment LayOut, un nouvel outil de mise en page pour la présentation et/ou la publication qui permet d'ajouter des éléments 2D (photos, dessins, texte…) et de créer des présentations graphiques professionnelles et des documents "haute résolution".
lundi 12 novembre 2007
vendredi 2 novembre 2007
Digital Map : Plus d'infos sur la carte !
Sur mes outils de veille, je me suis arrété sur un article relatant le partenariat entre Refdin et Digital Map Products. J'ai traduit le texte, enjoy :
La Société Digital Map Products (http://www.digitalmapproducts.com/) a déclaré qu'elle est maintenant fournisseur des données sur les parcelles du courtier en ligne Américain Redfin.
Digital Map Products (DMP) et son service web ParcelStream (TM) va permettre à Redfin de renseigner au mieux le client sur les caractérisiques d'une parcelle de terre.
Selon Jim Skurzynski, président et fondateur du DMP,"dans les premiers stades de l'achat et de la vente en ligne, les clients se contente d'une carte virtuelle. Cette carte leur fournit une première base afin de mieux localiser le bien (Google maps, Virtual earth, géoportal, et autres).
Mais au fur et à mesure de l'avancement vers la transaction, que ce projet d'acquisition gagne en maturation, les clients, potentiels acquéreurs veulent des informations plus détaillées pour la finalisation de leur acquisition."
Skurzynski a ajouté que ce service web, ParcelStream (TM), permettait aux potentiels clients d'obtenir des informations plus précises telles que la valeur des propriétés avoisinantes, les spécificités des lots vendues (taille, profondeur), de déterminer à quelle distance est la parcelle des routes principales, si elle est à côté de terrains publics ou d'espaces verts.
Aux Etats-Unis, les sites immobilier utilisant des services virtuels cartographiques ont commencé à superposer les données immobilières disponibles auprès des comtés, en plus d'imagerie numérique et de cartes routières sur les parcelles de terrains afin de cumuler et délivrer une information plus complète sur les propriétés. Toutefois, avec des informations de qualité inégale pour certains comtés, le résultat n'était satisfaisant que sur certaines parcelles.
DMP c'est donc spécialisée dans ce type de procédé (le traitement de l'information) et permet donc à ses clients d'intégrer grâce à ses applications des informations provenant des comtés américains de centaines de parcelles, sans avoir à investir dans la recherche, l'acquisition, la superposition, l'agrégation et la maintenance de toutes ses informations.
Le site de courtage en ligne américain Redfin a donc considérablement élargi son rayon d'action en présentant d'avantage de données à ses clients affamés d'informations. Et ce, sans se soucier de l'approvisionnement, le traitement et le maintien de l'information puisque DMP assure le suivi.
Afin d'aider ses clients à comprendre le potentiel immense en valeur des données géocodées au niveau des parcelles, DMP offre aux développeurs Web la possibilité de faire usage de l'API de ParcelStream (TM) dans leurs applications Web pour un essai gratuit. Cette simple API permet aux site immobilier d'afficher instantanément des données sur les parcelles avec une grande précision.
Skurzynski termine : " cette offre permet aux sites immobilier utilisant Microsoft Virtual Earth (TM) ou Google Maps (TM) de voir le potentiel de notre produit en augmentant considérablement les données sur les parcelles. DMP est un outil qui une fois le code inséré, comble les clients à la recherche du maximum d'informations."
Santa Ana, Californie le 10/17/07 -- Digital Map Products
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Cet article a le mérite de lancer le débat.
Faut-il ou non ouvrir les portes de l'information patrimoniale ?
Accepteriez-vous de voir sur un site internet votre maison estimée ?
Le contraste entre la France et les Etats-Unis sur la confidentialité des informations est saisissant. Mais tout ceci est plus une affaire de "mentalité" et de temps peut-être...
Dévoiler son patrimoine et dévoiler le patrimoine (ses biens, son salaire, ex : le salaire des patrons) de quelqu'un n'est pas passible de poursuites pour non-respect de la vie privée. C'est tout à fait légal. Encore faut-il savoir ce qu'il possède et où... Ce que je veux dire par là, c'est qu'l serait tout à fait possible de créer un concept identique à Digital Map en France si on voulait bien nous transmettre les données en matière d'immobilier.
Cet accès à l'information éviterait bien des désagréements :
"En France, le détail des transactions est tenu secret alors que, aux Etats-Unis, il suffit d'aller sur http://www.zillow.com/ pour avoir la cartographie transactionnelle du plus petit pâté de maison. Il faut améliorer l'information. Les ménages qui souffrent aujourd'hui sont ceux qui n'ont pas compris le risque de ne pas acheter ! Posséder son logement protège contre le risque des fluctuations de loyer." indique FRANÇOIS ORTOLO-MAGNÉ, professeur d'économie, titulaire d'une chaire d'immobilier à l'université du Wisconsin
Dans le cadre de l'immobilier, le public n'a pas accès à une base de données identique à celle des aux Etats-Unis. Aux US les prix réels des transactions sont publics (il faut les déclarer à "l'escrow" local). Zillow se base là-dessus en ré-estimant ensuite le prix à la date du jour, en tenant compte de tout un tas de facteurs (algorithmes secrets..). En France, nos aimables notaires ont les prix, mais ne les divulguent pas ou si mais moyennant finance... Le notaire est compétent sur son secteur.
Mais les notaires ne sont pas réellement les détenteurs d'une base de donnée des prix pratiqués sur tout le territoire. Ils alimentent une base de donnée PERVAL qui leur propose de collecter les prix mais c'est un service payant pour les Notaires. Les notaires n'y sont pas obligés d'y souscrire et ils n' alimente pas tous la base de données. Par contre, ils alimentent la Conservation des Hypothèques. Si, la CdH pouvait ouvrir ces portes et créer un outil afin de libéraliser les prix ce serait formidable.
Le vrai détenteur de la base de données de tous les prix en France, c'est la Conservation des Hypothèques. Elle centralise toutes les mutations immobilières à titre onéreux ou gratuit.
Messieurs les Sénateurs, vous qui souhaitez établir un indice de référence sur les prix de l'immobilier ... .
P.S. : Je sais que Geoportail souhaite mettre le cadastre en ligne, c'est bien. Mais personnellement, je préfererai retrouver un système de comparaison des prix des maisons ou des appartements sur mon site Internet Immo-Sat.com .
P.S. 2 : Un super site français se rapproche du concept de DMP mais le produit est axé sur le tourisme. Ce site propose de la cartographie 3D dynamique avec vue aérienne et services dédiés au marché du tourisme, il s'agit du site http://www.evaway.com/ tenu par Olivier MESSALIS.
dimanche 28 octobre 2007
Le marché de l'annonce immobilière se porte bien, merci !
Je relate ici un article issu de Challenges.fr. A la vue des chiffres, le marché des petites annonces immobilières est décidément un des marchés les plus juteux sur Internet.
La conjoncture immobilière de ces cinq dernières années a largement contribué à cette réussite , elle a assis la notoriété et la domination des plus anciens sites de petites annonces immobilières. Ces sites, de part leur taille, imposent le respect et la concurrence avec ces "gros" du secteur demeure délicate.
Cependant, sans prétention, nul n'est indéboulonnable et l'innovation seule (mélée à une gestion draconnienne des ressources) peut permettre de s'octroyer puis de grignoter des parts de marché... Immo-Sat.com à suivre donc.
"25/10/07 19:21 Forte croissance du chiffre d'affaires sur neuf mois du numéro 1 de l'immobilier sur internet :
Le spécialiste de l'immobilier sur Internet en France, SeLoger.com, a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 41,1 Millions d'Euros à l'issue des 9 premiers mois 2007, en croissance de 58,4% par rapport à la même période de 2006. Le Groupe explique cette forte croissance par le développement des "Petites Annonces" en province et en Ile-de-France. En effet, la société recense plus de 1,95 million de petites annonces en septembre 2007, contre plus de 1,19 million en septembre 2006 (+64,1%), et compte une audience de plus de 1,16 millions de visiteurs uniques (+14,6%), soi t plus de 7,7 millions de visites (+27,1%) et 122 millions de pages vues (+12,6%) en septembre 2007. La société confirme l'objectif d'un chiffre d'affaires annuel 2007 de 56 ME assorti d'une marge d'EBITDA de 48% après prise en compte du plan d'attribution de stocks options et d'actions gratuites. La société renouvelle également son objectif d'atteindre un taux de pénétration supérieur à 45% à fin décembre 2007 contre 36% à fin 2006 et un taux de 70% en 2009. "
La conjoncture immobilière de ces cinq dernières années a largement contribué à cette réussite , elle a assis la notoriété et la domination des plus anciens sites de petites annonces immobilières. Ces sites, de part leur taille, imposent le respect et la concurrence avec ces "gros" du secteur demeure délicate.
Cependant, sans prétention, nul n'est indéboulonnable et l'innovation seule (mélée à une gestion draconnienne des ressources) peut permettre de s'octroyer puis de grignoter des parts de marché... Immo-Sat.com à suivre donc.
"25/10/07 19:21 Forte croissance du chiffre d'affaires sur neuf mois du numéro 1 de l'immobilier sur internet :
Le spécialiste de l'immobilier sur Internet en France, SeLoger.com, a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 41,1 Millions d'Euros à l'issue des 9 premiers mois 2007, en croissance de 58,4% par rapport à la même période de 2006. Le Groupe explique cette forte croissance par le développement des "Petites Annonces" en province et en Ile-de-France. En effet, la société recense plus de 1,95 million de petites annonces en septembre 2007, contre plus de 1,19 million en septembre 2006 (+64,1%), et compte une audience de plus de 1,16 millions de visiteurs uniques (+14,6%), soi t plus de 7,7 millions de visites (+27,1%) et 122 millions de pages vues (+12,6%) en septembre 2007. La société confirme l'objectif d'un chiffre d'affaires annuel 2007 de 56 ME assorti d'une marge d'EBITDA de 48% après prise en compte du plan d'attribution de stocks options et d'actions gratuites. La société renouvelle également son objectif d'atteindre un taux de pénétration supérieur à 45% à fin décembre 2007 contre 36% à fin 2006 et un taux de 70% en 2009. "
samedi 27 octobre 2007
Le Sénat veut clarifier les chiffres
Comment expliquer que les prix des logements anciens aient augmenté de 6,7 % l'an passé selon la Fnaim, mais de 9,9 % selon l'indice Notaires-Insee ? Et que, en 2005, la hausse était de 10 % selon les agents immobiliers et de 15 % pour les officiers ministériels ? Partant de ce constat, la délégation du Sénat pour la planification, présidée par Joël Gourdin, suggère un rapprochement des deux principaux outils de mesure des prix dans l'ancien que sont les indices Notaires-Insee et Fnaim «dans l'optique d'une comparaison approfondie des bases de données et des méthodes utilisées ».
La délégation note par ailleurs qu'aucun indice ne retrace de manière satisfaisante l'évolution des prix dans le neuf, et appelle une promotion de l'information immobilière de source publique, « à partir des sources fiscales et foncières, qui pourraient être mieux utilisées qu'à l'heure actuelle ». Les sénateurs demandent également «une plus grande transparence au service des acquéreurs individuels, qui n'ont pas facilement accès aux éléments d'information sur les prix concrètement pratiqués dans les zones où ils projettent des achats».
Renseignements : www.senat.fr
La délégation note par ailleurs qu'aucun indice ne retrace de manière satisfaisante l'évolution des prix dans le neuf, et appelle une promotion de l'information immobilière de source publique, « à partir des sources fiscales et foncières, qui pourraient être mieux utilisées qu'à l'heure actuelle ». Les sénateurs demandent également «une plus grande transparence au service des acquéreurs individuels, qui n'ont pas facilement accès aux éléments d'information sur les prix concrètement pratiqués dans les zones où ils projettent des achats».
Renseignements : www.senat.fr
Microsoft Virtual Earth 3D 2.0 Beta
Je tiens cette info du site : http://www.ratiatum.com/log1812_Microsoft_Virtual_Earth_3D.html
Apporter la 3D à Windows Live Local
Description :
Microsoft permet grâce à ce plug-in d'apporter la 3D à son service Windows Live Local. Fonctionnant uniquement sous Internet Explorer, il constitue une alternative à Google Earth. Le programme semble moins précis que son rival de chez Google mais les immeubles 3D possèdent une véritable texture. Le réalisme est poussé jusqu'à empêcher la caméra de traverser les bâtiments. A essayer...
Apporter la 3D à Windows Live Local
Description :
Microsoft permet grâce à ce plug-in d'apporter la 3D à son service Windows Live Local. Fonctionnant uniquement sous Internet Explorer, il constitue une alternative à Google Earth. Le programme semble moins précis que son rival de chez Google mais les immeubles 3D possèdent une véritable texture. Le réalisme est poussé jusqu'à empêcher la caméra de traverser les bâtiments. A essayer...
samedi 20 octobre 2007
Microsoft: Virtual Earth 3DVIA
Microsoft et Dassault systemes ont conclut un partenariat pour lancer la nouvelle fonctionnalité de Virtual Earth: “3DVIA”.
Cette option vous permettra de créer des structures 3D complètes avec des textures et des couleurs que vous pourrez placer par la suite sur des maps Virtual Earth. qui pourront être partagés en ligne de différentés manières (Le service est encore en phase de test).
Positionné en tant que concurrent de Google 3D Warehouse, je me demande si l’on verra Virtual Earth 3DVIA intégré dans des jeux en ligne et autres mondes virtuels? (Google 3D Warehouse est déja utilisé par Multiverse pour des options de jeux tout comme Scenecaster).
Plus de renseignements sur : http://youtube.com/watch?v=r4L4T1pUZUU
Les multiples facettes de la labellisation OSEO
Loin d'être délivré de façon automatique, le label entreprise innovante permet d'ouvrir les vannes de financement pour mener à bien ses projets de R&D. Il est loin cependant de constituer une fin en soi.
Quand on est jeune pousse dans le domaine des nouvelles technologies, il n'est pas rare de se demander si les investissements que l'on consacre à ses projets de R&D apparaissent davantage comme une nécessité plutôt qu'une contrainte.
C'est notamment pour cette raison que l'organisme OSEO, née du rapprochement en 2004 entre l'ANVAR et la BDPME, a vu le jour, afin d'apporter un soutien et une contribution financière aux entreprises, et tout particulièrement aux PME.
Des coups de mains qui se matérialisent sous deux formes : "la qualification pour les Fonds Communs de Placement dans l'Innovation et le soutien à l'innovation sont deux actions complémentaires qu'OSEO mène auprès des entreprises mais qui ne sont en aucun cas conditionnelles l'une de l'autre", prévient d'entrée Dominique Chapard, coordinatrice pour les FCPI chez OSEO.
Et la coordinatrice de poursuivre : "la qualification d'entreprise innovante au titre des FCPI que nous délivrons depuis 1997 permet de rendre les investissements des FCPI éligibles au quota minimal des 60 % des montants levés à investir dans l'innovation, et aux acquéreurs de parts de FCPI de bénéficier de réductions fiscales".
Décernée pour une durée de trois ans, l'attribution de la qualification d'entreprise innovante au titre des FCPI nécessite toutefois un certain nombre de pré-requis. Au premier rang desquels le fait d'être une PME européenne de moins de 2 000 salariés et surtout de réussir la passation d'un examen "technico-économique" de l'entreprise.
"Le label OSEO d'entreprise innovante valide nos plans de développements vis-à-vis des investisseurs gérant des fonds FCPI et est de facto un gage de reconnaissance de la capacité d'innovation de l'entreprise qui nous permet de valoriser notre communication et de retenir plus facilement l'attention du marché boursier", fait savoir Paul Landucci, directeur général stratégie et développement au sein du groupe Coheris.
Sur 2006, le nombre d'entreprises qualifiées pour les FCPI, tous secteurs confondus, s'est élevé à 240, en forte augmentation par rapport aux années précédentes. Du côté de l'aide à l'innovation, ce sont plus de 70 millions d'euros qui auront été versés en 2006 (+23%) pour les entreprises appartenant au domaine des technologies de l'information.
Des aides à l'innovation qui peuvent d'ailleurs prendre des formes variées comme l'avance de prêt à taux zéro remboursable an cas de réussite du projet mais également de garantie de la caution bancaire sur les marchés d'ordre ou encore de prêt pouvant atteindre les 400 0000 euros en cofinancement avec une banque.
Mais les entreprises tentant l'aventure de la labellisation doivent toutefois garder à l'esprit que le versement des subventions est loin de constituer un chèque en blanc. Ces fonds ne pouvant être effectivement versés qu'avec une validation des étapes clés de projet par la Commission ad hoc mise en place par l'OSEO.
Comme c'est le cas par exemple pour Agematis, spécialisé sur le marché du stockage en ligne, pour lequel le versement de la subvention de 500 000 euros consentie en avril dernier s'effectuera en 3 temps.
"Le rôle d'OSEO n'a pas pour vocation de fausser les règles de libre concurrence du marché mais de soutenir les acteurs dans leurs démarches d'innovation, OSEO n'étant pas là pour se substituer aux risques pris par l'entreprise", tient à souligner Christophe Camborde, P-DG Agematis.
Reste cependant à évaluer les conséquences de la fusion entre l'OSEO et l'Agence de l'Innovation Industrielle (A2I) prévue dans le courant 2008 en espérant qu'elle ne constitue pas un desiderata sans lendemain de l'actuel Président de la République, Nicolas Sarkozy. Voir un simple moyen pour ce dernier d'imprimer sa marque après l'ancien locataire de l'Elysée Jacques Chirac, à l'origine de la bientôt défunte A2I.
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