dimanche 28 octobre 2007

Le marché de l'annonce immobilière se porte bien, merci !

Je relate ici un article issu de Challenges.fr. A la vue des chiffres, le marché des petites annonces immobilières est décidément un des marchés les plus juteux sur Internet.

La conjoncture immobilière de ces cinq dernières années a largement contribué à cette réussite , elle a assis la notoriété et la domination des plus anciens sites de petites annonces immobilières. Ces sites, de part leur taille, imposent le respect et la concurrence avec ces "gros" du secteur demeure délicate.

Cependant, sans prétention, nul n'est indéboulonnable et l'innovation seule (mélée à une gestion draconnienne des ressources) peut permettre de s'octroyer puis de grignoter des parts de marché... Immo-Sat.com à suivre donc.

"25/10/07 19:21 Forte croissance du chiffre d'affaires sur neuf mois du numéro 1 de l'immobilier sur internet :

Le spécialiste de l'immobilier sur Internet en France, SeLoger.com, a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 41,1 Millions d'Euros à l'issue des 9 premiers mois 2007, en croissance de 58,4% par rapport à la même période de 2006. Le Groupe explique cette forte croissance par le développement des "Petites Annonces" en province et en Ile-de-France. En effet, la société recense plus de 1,95 million de petites annonces en septembre 2007, contre plus de 1,19 million en septembre 2006 (+64,1%), et compte une audience de plus de 1,16 millions de visiteurs uniques (+14,6%), soi t plus de 7,7 millions de visites (+27,1%) et 122 millions de pages vues (+12,6%) en septembre 2007. La société confirme l'objectif d'un chiffre d'affaires annuel 2007 de 56 ME assorti d'une marge d'EBITDA de 48% après prise en compte du plan d'attribution de stocks options et d'actions gratuites. La société renouvelle également son objectif d'atteindre un taux de pénétration supérieur à 45% à fin décembre 2007 contre 36% à fin 2006 et un taux de 70% en 2009. "


samedi 27 octobre 2007

Le Sénat veut clarifier les chiffres

Comment expliquer que les prix des logements anciens aient augmenté de 6,7 % l'an passé selon la Fnaim, mais de 9,9 % selon l'indice Notaires-Insee ? Et que, en 2005, la hausse était de 10 % selon les agents immobiliers et de 15 % pour les officiers ministériels ? Partant de ce constat, la délégation du Sénat pour la planification, présidée par Joël Gourdin, suggère un rapprochement des deux principaux outils de mesure des prix dans l'ancien que sont les indices Notaires-Insee et Fnaim «dans l'optique d'une comparaison approfondie des bases de données et des méthodes utilisées ».


La délégation note par ailleurs qu'aucun indice ne retrace de manière satisfaisante l'évolution des prix dans le neuf, et appelle une promotion de l'information immobilière de source publique, « à partir des sources fiscales et foncières, qui pourraient être mieux utilisées qu'à l'heure actuelle ». Les sénateurs demandent également «une plus grande transparence au service des acquéreurs individuels, qui n'ont pas facilement accès aux éléments d'information sur les prix concrètement pratiqués dans les zones où ils projettent des achats».

Renseignements : www.senat.fr

Microsoft Virtual Earth 3D 2.0 Beta

Je tiens cette info du site : http://www.ratiatum.com/log1812_Microsoft_Virtual_Earth_3D.html

Apporter la 3D à Windows Live Local

Description :

Microsoft permet grâce à ce plug-in d'apporter la 3D à son service Windows Live Local. Fonctionnant uniquement sous Internet Explorer, il constitue une alternative à Google Earth. Le programme semble moins précis que son rival de chez Google mais les immeubles 3D possèdent une véritable texture. Le réalisme est poussé jusqu'à empêcher la caméra de traverser les bâtiments. A essayer...



samedi 20 octobre 2007

Microsoft: Virtual Earth 3DVIA



Microsoft et Dassault systemes ont conclut un partenariat pour lancer la nouvelle fonctionnalité de Virtual Earth: “3DVIA”.

Cette option vous permettra de créer des structures 3D complètes avec des textures et des couleurs que vous pourrez placer par la suite sur des maps Virtual Earth. qui pourront être partagés en ligne de différentés manières (Le service est encore en phase de test).

Positionné en tant que concurrent de Google 3D Warehouse, je me demande si l’on verra Virtual Earth 3DVIA intégré dans des jeux en ligne et autres mondes virtuels? (Google 3D Warehouse est déja utilisé par Multiverse pour des options de jeux tout comme Scenecaster).

Plus de renseignements sur : http://youtube.com/watch?v=r4L4T1pUZUU

Les multiples facettes de la labellisation OSEO


Loin d'être délivré de façon automatique, le label entreprise innovante permet d'ouvrir les vannes de financement pour mener à bien ses projets de R&D. Il est loin cependant de constituer une fin en soi.

Quand on est jeune pousse dans le domaine des nouvelles technologies, il n'est pas rare de se demander si les investissements que l'on consacre à ses projets de R&D apparaissent davantage comme une nécessité plutôt qu'une contrainte.

C'est notamment pour cette raison que l'organisme OSEO, née du rapprochement en 2004 entre l'ANVAR et la BDPME, a vu le jour, afin d'apporter un soutien et une contribution financière aux entreprises, et tout particulièrement aux PME.

Des coups de mains qui se matérialisent sous deux formes : "la qualification pour les Fonds Communs de Placement dans l'Innovation et le soutien à l'innovation sont deux actions complémentaires qu'OSEO mène auprès des entreprises mais qui ne sont en aucun cas conditionnelles l'une de l'autre", prévient d'entrée Dominique Chapard, coordinatrice pour les FCPI chez OSEO.

Et la coordinatrice de poursuivre : "la qualification d'entreprise innovante au titre des FCPI que nous délivrons depuis 1997 permet de rendre les investissements des FCPI éligibles au quota minimal des 60 % des montants levés à investir dans l'innovation, et aux acquéreurs de parts de FCPI de bénéficier de réductions fiscales".

Décernée pour une durée de trois ans, l'attribution de la qualification d'entreprise innovante au titre des FCPI nécessite toutefois un certain nombre de pré-requis. Au premier rang desquels le fait d'être une PME européenne de moins de 2 000 salariés et surtout de réussir la passation d'un examen "technico-économique" de l'entreprise.

"Le label OSEO d'entreprise innovante valide nos plans de développements vis-à-vis des investisseurs gérant des fonds FCPI et est de facto un gage de reconnaissance de la capacité d'innovation de l'entreprise qui nous permet de valoriser notre communication et de retenir plus facilement l'attention du marché boursier", fait savoir Paul Landucci, directeur général stratégie et développement au sein du groupe Coheris.

Sur 2006, le nombre d'entreprises qualifiées pour les FCPI, tous secteurs confondus, s'est élevé à 240, en forte augmentation par rapport aux années précédentes. Du côté de l'aide à l'innovation, ce sont plus de 70 millions d'euros qui auront été versés en 2006 (+23%) pour les entreprises appartenant au domaine des technologies de l'information.
Des aides à l'innovation qui peuvent d'ailleurs prendre des formes variées comme l'avance de prêt à taux zéro remboursable an cas de réussite du projet mais également de garantie de la caution bancaire sur les marchés d'ordre ou encore de prêt pouvant atteindre les 400 0000 euros en cofinancement avec une banque.

Mais les entreprises tentant l'aventure de la labellisation doivent toutefois garder à l'esprit que le versement des subventions est loin de constituer un chèque en blanc. Ces fonds ne pouvant être effectivement versés qu'avec une validation des étapes clés de projet par la Commission ad hoc mise en place par l'OSEO.

Comme c'est le cas par exemple pour Agematis, spécialisé sur le marché du stockage en ligne, pour lequel le versement de la subvention de 500 000 euros consentie en avril dernier s'effectuera en 3 temps.

"Le rôle d'OSEO n'a pas pour vocation de fausser les règles de libre concurrence du marché mais de soutenir les acteurs dans leurs démarches d'innovation, OSEO n'étant pas là pour se substituer aux risques pris par l'entreprise", tient à souligner Christophe Camborde, P-DG Agematis.

Reste cependant à évaluer les conséquences de la fusion entre l'OSEO et l'Agence de l'Innovation Industrielle (A2I) prévue dans le courant 2008 en espérant qu'elle ne constitue pas un desiderata sans lendemain de l'actuel Président de la République, Nicolas Sarkozy. Voir un simple moyen pour ce dernier d'imprimer sa marque après l'ancien locataire de l'Elysée Jacques Chirac, à l'origine de la bientôt défunte A2I.

lundi 15 octobre 2007

You tube mixé avec Google Earth


Il y a deux nouveautés dans Google Earth.

Si vous êtes en version anglaise, il est possible d'ajouter du contenu en cliquant sur le bouton Add Content visible dans la rubrique Places (Lieux). Vous serez directement redirigé vers la galerie Google Earth.Il y a un large choix de fichiers KML qui ont été proposés par la communauté Google Earth. Par exemple, vous pouvez explore la ville de Londres et son expansion dans le temps ou découvrir la Namibie Notez que vous pouvez proposer votre propre fichier KLM en accédant à ce formulaire.

Autre nouveauté, cette fois-ci de taille : il est possible d'afficher les vidéos géolocalisées de YouTube dans Google Earth. Dans la rubrique Infos pratiques, ouvrez la branche Contenu sélectionné puis activez le calque YouTube. Ce que je trouve très dommage est que ce Layer ne soit pas personnalisé en fonction de Google Earth. Par exemple, les suggestions des autres vidéos n'ont vraiment rien à voir avec des recherches centrées sur les voyages et la découverte de notre planète. Du coup, vous pouvez passer d'un clip sur la grande barrière de corail à celui montrant une pin-up en train de s'essayer à un laborieux strip-tease. On voit énormément de vidéos inintéressantes et peu de choses avec un contenu vraiment de qualité. Néanmoins, il est possible de faire de la plongée sous-marine au Costa-Rica, du surf sur les plages paradisiaques de Tahiti ou de poursuivre des lions en Afrique. Signalons qu'il y a un autre calque qui montre des photos satellites prises par la société Spot Image. Cela s'appelle "One World, one Year" et vous permet de découvrir des images prises les 12 derniers mois. N'hésitez pas à visiter la galerie de Spot Image…
En conclusion, mon impression est que ce mélange entre informations scientifiques et vitrines commerciales brouille l'image que l'on peut avoir de Google Earth.


Source : Google XXL

mardi 2 octobre 2007

Connaissez-vous Nasa World Wind ? La Terre et bien plus ...

Nasa World Wind , logiciel Open source gratuit édité par la Nasa. La Terre et bien plus. Après s'être approché de la Lune, de Vénus et de Mars, on repart sur notre planète. Ici, on est chez les scientifiques, et ça se sent. On peut le voir comme un outil complémentaire aux trois autres concurrents de ce comparatif. Ici, pas d'hôtels, pas de maison de Bruce Willis, mais une approche théorique de l'espace et de ses planètes. On passe d'un ouragan, à une chaîne de montagne en relief puis on termine avec l'approche d'un cratère de volcans ! Certaines prises de vue sont splendides. La visite de la Lune et de Venus en 3D vaut vraiment le détour. Seul grand regret, le logiciel ne s'utilise que sur PC. Testé avec des enfants intéressés par l'espace, la balade a fait son effet !


La belle bleue prend des allures de star. La vue de la Terre depuis l'espace est tout simplement superbe. Vues satellites, cartes topographiques, l'ensemble des données est conséquent. World Wind c'est la Nasa et son approche scientifique. C'est aussi, évidemment, l'espace. On se rend sur Mars, sur la Lune grâce au satellite Clementine qui prend un nombre incroyable d'images par mois... c'est intersidérant. Pour les enfants férus su système solaire et d'autres galaxies, c'est un passage conseillé. La 3D offre le tout en volume. Sur la Terre, c'est pareil. Textures, reliefs, météo, catastrophes naturelles tel qu'un ouragan... c'est une mine de renseignements. Toutefois, il convient de préciser que ce logiciel est assez technique pour peu qu'on le regarde de plus près. Au-delà des vues générales, il s'adresse plus à un public averti. Les habitué(e)s de Google Earth trouverons certainement l'interface (en anglais uniquement) un peu désuète et le nombre des fonctionnalités plus limité. Il convient de dire d'emblée que les deux logiciels ne sont pas à comparer.

World Wind : quoi de différent ? Quelque chose de plus ?

Vous n'y trouverez pas de restaurants, pas d'hôtels, pas de cinéma, pas la maison de Bruce Willis et pas de panneaux publicitaires non plus. World wind propose un aspect plus scientifique du globe. Disons, que Google Earth et World Wind sont complémentaires. Le premier fait dans le général, le tourisme, le pratique quand le second conserve une approche plus théorique. L'approche de la Terre avec World Wind fait plus scolaire qu'avec Google Earth ou bien encore Windows Live Local, c'est indéniable. Plusieurs options proposées raviront les écoliers. En vrac, l'affichage des drapeaux, des frontières, les noms des mers et océans, des villes, des villages même... La navigation est assez fastidieuse. Les déplacements sont parfois un peu lents et l'approche d'un lieu avec le zoom (activé par la souris) peine de temps en temps. On a moins l'impression de fluidité que sur Google Earth.

Et les images ?

Plusieurs types d'affichage sont disponibles. Vous avez la possibilité d'obtenir un affichage aux couleurs réelles depuis la vue satellite, un autre aux "pseudo" couleurs, ce qui donne une image très contrastée. Le logiciel propose également l'affichage Urban Area, où des prises de vues aériennes de grandes villes sont proposées. Nous n'avons pas été très convaincus par la précision (là où nous sommes allés). Par ailleurs, World Wind dispose d'un outil qui donne des informations sur le climat. Ce sont les photos de l'espace qui nous ont réellement faits rêver.

Voyage dans l'Espace autorisé !

La Lune, ses cratères, Mars... On y découvre les lieux déjà nommés par l'homme. L'étoile du Berger vue de plus près, Vénus apparaît bien importante d'un coup. Un voyage dans l'espace hautement recommandé...


lundi 1 octobre 2007

Nokia rachète Navteq

HELSINKI/NEW YORK (Reuters) - Nokia a annoncé lundi le lancement d'une OPA sur l'éditeur de cartographies numériques américain Navteq pour 8,1 milliards de dollars (5,7 milliards d'euros). Cette acquisition, l'une de ses plus importantes jamais réalisées par le premier fabricant mondial de téléphones mobiles, lui donnera une tête-de-pont dans le segment des logiciels de navigation, qui connaît l'une des plus fortes croissance du secteur.


Certains analystes la jugent chère, ce qui explique la baisse de l'action Nokia en Bourse.
Après avoir perdu plus de 4%, le titre a réduit sa perte à 2,36%, à 26,03 euros, dans le courant de l'après-midi.

L'action Navteq elle perd 1,9% à 76,49 dollars et se traite à un niveau inférieur au prix de 78 dollars proposé par Nokia.

"C'est très cher. L'action vaut 50 fois ses résultats anticipés, ce qui est un peu chérot", estime Richard Windsor chez Nomura.

Nokia, qui chercher à se diversifier au-delà d'un secteur de la téléphonie mobile qui arrive à maturité, précise que l'achat affectera ses résultats de 2008 et de 2009 mais sera légèrement relutif dès cette année-là.

Navteq était perçu comme une proie depuis le lancement en juillet par TomTom, leader mondial des matériels de navigation GPS pour l'automobile, d'une offre de 1,8 milliard d'euros pour racheter Tele Atlas, le seul gros concurrent de Navteq.

Google et Microsoft avaient été cités comme d'éventuels repreneurs de Navteq par le passé.

"UN PEU CHER"

Nokia a fait sa première incursion dans la navigation l'an passée avec le rachat de l'éditeur de logiciels allemand Gate5, qui utilise des données cartographiques provenant de Tele Atlas ou de Navteq.

Le groupe finlandais précise qu'il financera l'opération en cash et par la dette, à parité. Sa trésorerie et ses liquidités placées à court terme représentaient 8,3 milliards d'euros à la fin juin.
La transaction n'affectera pas le programme de rachat d'actions en cours, précise Nokia. Elle n'aura pas non plus d'impact sur sa stratégie de redistribution du résultat en termes de dividendes ou de rachats de titres.


"Stratégiquement, cette opération se justifie mais je trouve aussi que c'est un peu cher; c'est ma première impression", commente Soren Linde Nielsen (Jyske Bank).

"Le prix est plutôt élevé mais on peut le considérer éventuellement comme raisonnable; le temps le dira", commente Jussi Hyoti (Glitnir).

"Il fallait que Nokia fasse quelque chose de ce genre; c'est conforme à sa nouvelle stratégie mais il est bien difficile de dire s'il a payé le juste prix. Cela ne devrait pas trop affecter les résultats parce que cette activité est naissante".

Pour Felix Oberdorfer, analyste de Fortis, une contre-offre semble improbable. "Cela rend aussi plus probable de voir se réaliser la fusion entre TomTom et Tele Atlas", ajoute-t-il. "La valeur que l'offre de Nokia donne à Navteq montre la valeur intrinsèque d'une société de cartographie".
La confirmation de l'opération - l'information avait été révélée par le Wall Street Journal - a fait une victime. L'action Garmin, leader mondial des matériels de navigation GPS, a chuté de plus de 10% à quelque 107 dollars. Garmin passait lui aussi pour un candidat à l'achat de Navteq.


Source : Le Monde